Decôté de la banque d’Algérie ou de côté de marché noir, le dinar algérien ne fait pas le poids que ce soit face à l’euro, le dollar ou la livre sterling. Sur le marché noir des Actudepuis 2 ans Marché parallèle forte baisse de l’euro face au dinar La monnaie européenne, l’euro, est passée au-dessous de la barre de 190 dinars ce lundi 16 mars, enregistrant ainsi une forte baisse sur le marché parallèle... Actudepuis 2 ans Le dinar se stabilise par rapport à l’euro La monnaie nationale, le dinar algérien, se stabilise depuis une semaine sur le marché noir de la devise face à l’euro, au dollar et à la... Actudepuis 2 ans Marché noir de la devise renchérissement du dinar face à l’euro La monnaie nationale, le dinar, s’est légèrement renchérie face à l’euro en fin de semaine sur le marché noir de la devise, ont rapporté le 29... Actudepuis 3 ans Le dinar légèrement en baisse par rapport à l’euro Le marché noir de la devise est très fluctuant ces derniers temps en Algérie, influencé qu’il est par le climat politique et l’apparition du coronavirus qui... Lesdéclarations des officiels qui ont fermé la porte à l’ouverture des frontières a fait plonger le marché dans sa léthargie. La demande sur les principales devises, à l’instar de l’euro, a connu une baisse drastique. La monnaie unique européenne a connu un léger recul ce lundi 18 janvier. Le marché noir des devises en Algérie connaît une certaine accalmie ces derniers jours
les météorites sont très lourdes à cause de leur densité en métaux. Ici, une orientite proposée par un revendeur d'Erfoud. © Arnaud Finistre 24/05/2015 à 0500, Mis à jour le 11/04/2022 à 1615 Dans le désert marocain, c’est devenu une véritable chasse au trésor. Ceux qui arpentent les dunes à la recherche de météorites sont de plus en plus nombreux. Une quête extraterrestre qui peut rapporter gros. Sur le marché confidentiel de la météorite, Mohamed Aid est un incontournable. Malgré son allure simple, son attitude modeste, ce marchand reconnu repose sur un petit trésor. Sa plus belle pépite se nomme Black Beauty » un caillou noir comme du charbon qu’il a revendu quelque 220 000 euros. Trouvé en 2011 dans le désert marocain, dans une zone appelée Rabt Sbayta, cet éclat de Mars est la météorite la plus chère au monde. Elle est issue de la surface de la planète, et sa valeur scientifique est inestimable. Son prix d’acquisition continue d’ailleurs de grimper en novembre 2014, une trentaine de grammes a atteint les 70 000 euros aux enchères chez Christie’s, la célèbre maison de ventes. Lorsque Mohamed Aid évoque la pierre de sa vie, en étalant ses dernières acquisitions diogénite, pallasite, lunaire, sur la table de son salon, ses yeux sombres scintillent Black Beauty, confie-t-il, c’est de loin ma plus heureuse trouvaille. »Nous sommes dans le sud du Maroc , aux portes du grand Sahara. Dans cette zone de transit, tout s’échange, tout se vend. Dès le Moyen Age, les caravanes débarquaient chargées d’or, après des mois de voyage, écrasées sous le soleil saharien. Pourtant, depuis quelques années, une nouvelle ruée vers l’or a pris le relais une chasse aux météorites qui captive autant les nomades, les scientifiques, les passionnés que les spéculateurs… Pour expliquer cette tendance, un argument de taille au Maroc, les météorites appartiennent à ceux qui les trouvent et c’est le seul pays de la zone saharienne à tolérer leur vente. Dans les pays frontaliers, Algérie, Tunisie ou Libye, elles reviennent de facto à l’Etat. Leur exportation est interdite et parfois même passible de ville d'Erfoud est devenue la plaque tournante du commerce des météoritesA quelques kilomètres des dunes touristiques de Merzouga, à l’extrême est du Maroc, la ville d’Erfoud est devenue la plaque tournante du commerce des météorites. Yahiya est un des nombreux intermédiaires qui en vit, attendant son jour de chance, celui où il tombera sur une pépite de valeur. Pour cela, il achète les pierres aux nomades et les revend à des Marocains ou à des visiteurs de passage. S’ils ne sont pas collectionneurs, ces acquéreurs étrangers iront eux-mêmes les écouler dans des bourses spécialisées et organisées de par le monde Ensisheim en Alsace, Tucson en Arizona, Munich en Allemagne… La suite après cette publicité Aujourd’hui, Yahiya vient de recevoir un coup de téléphone d’un de ses contacts. Mohammed, un nomade, aurait déniché une météorite précieuse, a priori une chondrite carbonée, contenant du carbone, comme son nom l’indique. Si la pièce est belle, il pourra la revendre un bon prix. Hormis quelques boutiques pour les touristes, il n’existe pas de point de vente, le réseau est organisé autrement et les négociations se font dans le désert ou chez les particuliers. Petites mains besogneuses, ce sont les nomades qui récoltent le plus souvent sur le terrain. En effet, pour faire paître leurs troupeaux, ils parcourent des kilomètres. Avec la chaleur, le vent, c’est très difficile de chercher. Pour eux, c’est différent, ils sont nés dans le désert. Ils le connaissent bien », détaille Yahiya. La suite après cette publicité Nassim le berger a appris à reconnaître les pierres à fort potentiel. © Arnaud Finistre Dès le lendemain, l’acheteur part en 4 x 4 à la rencontre de Mohammed. D’Erfoud, il emprunte la route qui traverse les casbahs en ruine, d’anciens villages fortifiés, puis la piste sinue à travers la palmeraie, réputée pour ses dattes savoureuses. Finalement, au bout d’une demi-heure, le désert avale l’asphalte et la voiture pénètre un univers rocailleux et aride, hérissé de touffes vertes. Au loin se profilent les sommets enneigés de l’ une bonne heure de trajet, Yahiya atteint le secteur où sont établis Mohammed et sa famille. Il cherche du réseau téléphonique pour appeler en même temps qu’il scrute l’horizon de son œil habitué. Il lui faut encore longer quelques dunes, traverser plusieurs oueds, ces rivières asséchées. Enfin, la frêle tente se dresse, un amas de couvertures et de tissus, maigre protection contre les intempéries. Mohammed s’est installé là avec sa femme et ses cinq enfants. Ici, il a trouvé de l’herbe pour faire paître ses troupeaux, ses treize chameaux et sa dizaine de chèvres. C’est tout ce qu’il possède avec sa moto, mais aussi une belle poignée de météorites. Pourtant, quand Yahiya arrive, un autre marchand est déjà passé par là. Il a acheté la chondrite carbonée 450 dirhams [42 euros]. C’est la règle ici. Il faut être le premier. Philosophe, Yahiya le sait bien Les météorites, c’est surtout de la chance et souvent tu ne trouves rien. » La suite après cette publicité La suite après cette publicité Pour la classification, il faut envoyer un échantillon dans un laboratoire aux Etats-Unis, en Europe ou à CasablancaChaque jour apporte son lot de surprises. Ainsi un de ses amis, également revendeur, vient de remporter une affaire. Avec sa camionnette, il est parti à Laâyoune, dans le Sud. Sur plus d’un millier de kilomètres, il a emprunté la route poussiéreuse des anciens trafiquants d’épices, il a traversé les ergs jusqu’à Tata puis a rejoint la côte atlantique pour descendre à Laâyoune. De son rendez-vous avec un nomade, il a rapporté une petite pierre céleste qu’il garde contre lui, à l’intérieur de son manteau. Une vingtaine de grammes, achetée quelques dizaines d’euros et qu’il espère bien revendre 200. Au soleil, le caillou gris et argenté scintille comme une lunaire. Pourtant, il ne saura jamais si c’en est une. Pour la classification, il faut envoyer un échantillon dans un laboratoire, aux Etats-Unis, en Europe ou à Casablanca. Seuls les riches marchands le font. Une fois reconnue, elle peut alors être revendue à meilleur prix, souvent découpée en tranches pour un maximum de profit. C’est ainsi ! Certains se sont enrichis. D’autres ont tout perdu. Ils n’ont pas eu le nez, ont acheté des cailloux qui n’étaient pas extraterrestres », résume Ibrahim, rencontré sur la route du retour et venu prospecter. Il habite dans le coin et chasse la météorite pour arrondir ses fins de mois. La dernière fois, il a trouvé un morceau de lunaire et l’a revendu plusieurs centaines d’euros. Mohamed Aid devant ses trouvailles extraterrestres. © Arnaud Finistre Tout gagner ou tout perdre… A Erfoud, Ahmed Lamouri en a fait l’expérience. Il a été le premier Marocain à s’intéresser aux météorites dans une région qui vit essentiellement grâce aux fossiles et aux minéraux quartz, gypse, améthyste, calcite, argent… L’ancien se souvient Dans les années 1980, j’avais une autorisation pour exploiter des mines d’azurite. Un jour, un ouvrier me ramène une pierre inconnue. Je la montre à un bijoutier. Il me dit que ce n’est pas du minerai. Je l’apporte à un forgeron. Il me répond que ce n’est pas du fer. [...] Quelque temps plus tard, Alain Carion, un spécialiste, collectionneur et marchand français, vient me rendre visite. Il m’explique que c’est une météorite. Franchement, sur le moment, je n’ai pas compris grand-chose. Puis, peu à peu, les gens ont commencé à les ramasser et à les vendre. Il en venait de partout de tout le Sahara, de Mauritanie, d’Algérie, du Mali… » Ahmed, lui, n’a pas fait fortune. Faute de bons placements, il a trop dépensé et laissé filer des affaires. Une fois j’ai acheté une pierre 30 dirhams [2,80 euros] le gramme. Je l’ai revendue le double. Mais, deux mois plus tard, elle tournait à 600 dirhams [56 euros] le gramme avant de partir à l’étranger. C’était une eucrite, une pièce rare. »Les acheteurs étrangers se livrent à des transactions de plusieurs milliers d'eurosDepuis les balbutiements des années 1990, la filière s’est organisée. Si les Touaregs restent bergers, la plupart ont dans la poche un petit aimant pour reconnaître ces pépites venues du ciel. Certains sont même devenus des experts, savent différencier une banale chondrite d’une achondrite plus remarquable. Après eux, les intermédiaires sont souvent nombreux. La finalité, c’est de vendre à des étrangers. Or ces acheteurs se livrent à des transactions de plusieurs milliers d’euros, ils doivent être solvables et crédibles, avec un compte en banque et une solide réputation », confie un bon connaisseur du milieu. Les prix, quant à eux, varient énormément. Tout dépend si la pierre est fendue, si les rayons sont marqués, si la forme est belle. Les chondrites ordinaires oscillent entre 200 et 600 euros le kilo. Pour les pièces rares, les lunaires ou les martiennes, les tarifs s’envolent et atteignent des sommes astronomiques, notamment en cas de chute ce qui s’est passé le 18 juillet 2011, à Tissint. Pendant la nuit, quelques chanceux éveillés entendent une explosion et observent une lueur jaune éclairer le ciel. Dans l’histoire, c’est la cinquième chute connue de martienne sur Terre. Fraîchement tombée et peu polluée par des éléments terrestres, elle a un grand intérêt scientifique. Quelques semaines après, le premier échantillon est classifié comme martien. A partir de ce moment, dans une zone totalement inhospitalière à 70 kilomètres de la moindre trace d’un petit village, une véritable ruée vers l’or s’organise. Selon les médias marocains, 3 000 personnes arpentent la zone. Au total, au cours des mois suivants, près de 7 kilos de débris sont récoltés. Les premières pièces sont vendues très peu cher puis les prix augmentent, jusqu’à 1 000 euros le gramme…Légende ou réalité, le monde des météorites est plein de fantasmes Brahim collecte depuis vingt ans les météorites. Sahraoui, il a grandi avec son père dans le désert avant d’ouvrir une boutique pour les touristes à Ouarzazate. Il connaît très bien les nomades. A Tata, près de Tissint, certains se sont beaucoup enrichis. Après 2011, ils ont acheté des maisons, des 4 x 4, raconte-t-il. Mais d’autres ont vendu une pièce 20 dirhams [2 euros] puis l’ont retrouvée quelques mois plus tard à 1 000 euros sur le marché. Ils sont devenus fous. » Légende ou réalité, le monde des météorites est plein de fantasmes. Sur une table basse, au fond de son magasin, au milieu des bijoux berbères, des babouches et des théières, Brahim sort ses pépites extraterrestres. C’est un bon business, les cailloux. Ça ne se mange pas, mais ça se vend, très cher. Depuis Tissint, on a tout écoulé. On attend une nouvelle chute du ciel », Chaoui fait partie de ceux qui se sont beaucoup enrichis grâce à ce business. Dans un monde qui reste discret – et pour cause la vente de météorites au Maroc ne fait l’objet d’aucun cadre législatif, elle n’est donc pas taxée et ses règles ne sont pas définies –, il est un des rares à accepter de parler et de raconter comment il a fait fortune. J’ai commencé à m’y intéresser en 2008. Je m’étais endetté après mon mariage. » D’origine modeste – ses parents ont élevé treize enfants –, le jeune homme a besoin d’argent. Je me suis mis à chercher des météorites. J’allais dans le désert avec ma moto. Pendant un an, je n’ai rien trouvé. Mon premier achat sérieux, c’est une lunaire, grâce à un nomade. L’essentiel dans ce commerce est d’entretenir de bonnes relations avec eux, avec du respect, car ils sont plus chanceux que nous. Ce jour-là, il m’a prévenu qu’il avait quelque chose de précieux. J’ai pris la météorite, je l’ai envoyée à l’étranger pour la faire analyser. Je lui ai dit que je le payerais en fonction des résultats et il m’a fait confiance. Il s’est révélé que c’était une très belle lunaire de 442 grammes, que j’ai vendue par la suite à un Américain. » Le trentenaire sourit, heureux. Il n’en revient toujours pas. C’était comme dans un rêve. Tout d’un coup, j’ai dit bye-bye à la pauvreté, j’ai remboursé mon crédit, mis 40 000 dirhams [3 700 euros] de côté et j’ai pu acheter d’autres pièces pour lancer mon affaire. »Aujourd’hui, Rachid Chaoui vend essentiellement sur Internet. Il se fait construire une deuxième maison, en ville, à Ouarzazate, pour se rapprocher des commodités, des banques et des écoles pour ses enfants. De son côté, le nomade a, lui aussi, acquis une propriété. Il s’y réfugie seulement quand il pleut, sourit Rachid Chaoui, mais, pour le reste, il préfère vivre dans le désert. » Sous le ciel qui a fait sa fortune, il peut continuer à croire en sa bonne étoile.
Lemarché noir des devises continue de fonctionner contre vents et marées.Malgré la morosité économique, il reste stable depuis plusieurs semaines.En effet, la fermeture des frontières ainsi que la suspension des vols ne l'ont vraisemblablement pas anéanti.La monnaie unique européenne maintient toujours un taux au-dessus de la barre symbolique des 200 dinars.
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Ladégringolade du Dinar Algérien se confirme et ne fait que s’accentuer sur les deux marchés, parallèle et officiel. Face aux principales devises, la monnaie nationale ne fait tout simplement pas le poids. Du coté de la Banque d’Algérie, le Dinar Algérien reste en souffrance devant les principales devises. Pour ce mardi 12 juillet 2022, un seul [] L’article Le dinar face
Aller au contenu En baissant le taux de change du dinar algérien face à l’euro de manière accentuée en 2021, la banque d’Algérie a automatiquement fait baisser le montant de l’allocation touristique accordée aux algériens désirant se rendre à l’étranger. Une information qui aurait pu passer inaperçue si ce n’est le nouveau record que venait d’être atteint. En effet, depuis l’année dernière, pour le calcul des transactions commerciales et le versement de l’allocation touristique, 1 euro sera facturé à pas moins de 157 DA + les frais bancaires, ce qui la fait baisser à 85 euros/an/citoyen. Du jamais vu jusqu’à maintenant. D’autant plus que le gouvernement applique une ouverture partielle des frontières aériennes du pays, ce qui sera sans doute synonyme d’un afflux assez important de la monnaie européenne sur le marché parallèle local. Le taux de change du dinar au marché parallèlesource Forex Algérie Aussi, il en va sans dire que cela avait fait flamber le prix de l’euro sur le marché noir dans les prochains jour. Un euro qui s’échange déjà aux alentours des 215 DA, mais qui risque aussi de rester stable si un nombre conséquent d’immigrés arrivent à braver les dures conditions requises pour entrer sur le territoire national. Vues 2 936 Partager sur les réseaux sociaux Navigation de l’article
Quelest le prix de l’Euro au marché noir en Algérie? Ce jeudi 30 septembre, le cours de l’ euro à la Banque centrale d’ Algérie s’élève à 159,71 dinars à l’achat et 159,74 dinars à la vente. Sur le marché parallèle des devises, il a atteint les 210 dinars à l’achat et 213 dinars à la vente.
DébutPage précedentePage suivanteFin on joue à la PS2 en 2K19 et on se sent gamer desu ♫ Le 27 avril 2019 à 145034 RainDropSKU a écrit L'op t'es d'ou khey ?Tizi-Ouzou la ville. Le 27 avril 2019 à 144922 AncienTombory a écrit Le 27 avril 2019 à 144444 Interboules a écrit Je crois que tu te trompes sur le taux de change, utilise celui non-officiel pratiqué sur les marchés Avec ce taux ca fait 200€ la RX570, ca se rapproche plus du prix européen dans les 160€ non je ne trompe pas, toi tu utilises la taux de change du marché noir algérien euro-dinar, pour vous ça revient moins chère mais pour nous les algériens qui devons acheter de l'euro au marché noir avec des prix ahurissant ça revient encore plus m'apprends un truc, je l'ai jamais fait dans ce sens je croyais c'était à peu prés le même prix Du coup ca revient à combien de dinars quand tu veux acheter un euro ? Le 27 avril 2019 à 144802 Bujak a écrit j"avais une HD 7870XT elle fonctionner bien sauf un ventilo qui des fois ne tourner pas je l'ai jeté y'a 9 mois Dsl mais c'était tellement le bordel dans ma chambre qu'il fallait faire de la placeOMG vous avez le luxe de pouvoir jeter vos coposants khey la prochaine fois essaye de la garder et l'offrir a une personne dans le besoin, je te jure ça fait vraiment plaisir Le 27 avril 2019 à 145108 AncienTombory a écrit Le 27 avril 2019 à 145034 RainDropSKU a écrit L'op t'es d'ou khey ?Tizi-Ouzou la pas HYPER loin d'alger, vas-y j'suis sur y'a des bon prix Le 27 avril 2019 à 144816 pseudo205 a écrit [142801] Osef on est en France iciddbOk le 2000 t'as pas de la famille en france qui pourrait t'importer ça pendant leurs vacances ou envoyer par la poste? Je vous plains les gamers pc algériens... les pc à 700 boules pour un i3 et une 1050 en france pour 389 euros tu a ça fixe Gaming First - Ryzen 3 2300X 3,5Ghz, RX 570 OC 8Go, RAM 8Go, SSD 240Go, Alim. 500W D "B " Z Le 27 avril 2019 à 145202 AncienTombory a écrit Le 27 avril 2019 à 144802 Bujak a écrit j"avais une HD 7870XT elle fonctionner bien sauf un ventilo qui des fois ne tourner pas je l'ai jeté y'a 9 mois Dsl mais c'était tellement le bordel dans ma chambre qu'il fallait faire de la placeOMG vous avez le luxe de pouvoir jeter vos coposants khey la prochaine fois essaye de la garder et l'offrir a une personne dans le besoin, je te jure ça fait vraiment plaisir Jai une ancienne 770 mon khey mais je ne peux pas te l'envoyer les frais de port coûte cher dsl Le 27 avril 2019 à 145320 Bujak a écrit les pc à 700 boules pour un i3 et une 1050 en france pour 389 euros tu a ça fixe Gaming First - Ryzen 3 2300X 3,5Ghz, RX 570 OC 8Go, RAM 8Go, SSD 240Go, Alim. 500WBordel j'ai la haine Le 27 avril 2019 à 145312 BelgeChampionDM a écrit t'as pas de la famille en france qui pourrait t'importer ça pendant leurs vacances ou envoyer par la poste? Je vous plains les gamers pc algériens...NOOOON j'ai rien et même si j'avais je ne pense pas qu'ils accepteraient de me prendre un pc gamer en plus faut payer les douanes qui coûtent un bras ... C'est comme le prix des voitures non, vous payez plus ou moins le même prix qu'ici ? Eh vas-y l'op go ps4 c'est mieux pour toi hein T'attends un peu et tu pourra la cracker Le 27 avril 2019 à 145348 KheyLuxueux a écrit Le 27 avril 2019 à 145202 AncienTombory a écrit Le 27 avril 2019 à 144802 Bujak a écrit j"avais une HD 7870XT elle fonctionner bien sauf un ventilo qui des fois ne tourner pas je l'ai jeté y'a 9 mois Dsl mais c'était tellement le bordel dans ma chambre qu'il fallait faire de la placeOMG vous avez le luxe de pouvoir jeter vos coposants khey la prochaine fois essaye de la garder et l'offrir a une personne dans le besoin, je te jure ça fait vraiment plaisir Jai une ancienne 770 mon khey mais je ne peux pas te l'envoyer les frais de port coûte cher dsl Bordel ça coûte combien ? Le 27 avril 2019 à 145515 FacteurNerveux a écrit C'est comme le prix des voitures non, vous payez plus ou moins le même prix qu'ici ?Non c'est beaucoup plus chère Prix du console en Algérie ? Le 27 avril 2019 à 145521 RainDropSKU a écrit Eh vas-y l'op go ps4 c'est mieux pour toi hein T'attends un peu et tu pourra la cracker et je vais faire quoi avec hein ? les jeux coûtent un bras Le 27 avril 2019 à 145532 AncienTombory a écrit Le 27 avril 2019 à 145348 KheyLuxueux a écrit Le 27 avril 2019 à 145202 AncienTombory a écrit Le 27 avril 2019 à 144802 Bujak a écrit j"avais une HD 7870XT elle fonctionner bien sauf un ventilo qui des fois ne tourner pas je l'ai jeté y'a 9 mois Dsl mais c'était tellement le bordel dans ma chambre qu'il fallait faire de la placeOMG vous avez le luxe de pouvoir jeter vos coposants khey la prochaine fois essaye de la garder et l'offrir a une personne dans le besoin, je te jure ça fait vraiment plaisir Jai une ancienne 770 mon khey mais je ne peux pas te l'envoyer les frais de port coûte cher dsl Bordel ça coûte combien ?16euros dsl jsuis trop radin meme pour un frere kabyle DébutPage précedentePage suivanteFin Victime de harcèlement en ligne comment réagir ? Ence dimanche 20 décembre, dernier jour d’automne, un euro valait 209 dinars à l’achat et entre 211 et 212 à la vente, au Square Port-Saïd et au marché Réda Houhou (Ex A la descente des ferries en provenance d'Algérie, douaniers et policiers multiplient les fouilles. Les importations illicites ont explosé. Jérôme Chatin/L'Expansion "Le Tariq arrive !" Ce 19 mai, la grande carcasse blanc et bleu du ferry qui assure la liaison entre Alger et Marseille accoste enfin au quai de la Joliette, à l'ombre des coupoles néogothiques de la cathédrale Sainte-Marie-Majeure. Le Tariq Ibn Ziyad affiche deux bonnes heures de retard. A l'entrée de la gare maritime de la Major, triste bâtiment de béton brut, les porteurs s'ébrouent. C'est l'heure de se mettre au travail. "Le Tariq arrive !" A quelques centaines de mètres de la mer, au commissariat de la Canebière, le brigadier Ali est sur les dents. Voilà cinq mois qu'avec ses huit policiers il fait la chasse aux vendeurs de cigarettes de contrebande et à leurs fournisseurs. A chaque arrivée de ferry, direction le port, où son équipe surveille le débarquement des passagers et des voitures aux coffres et aux galeries surchargés. Chacun, ici, le sait c'est par bateau que la plupart des cartouches de Marlboro déboulent sur les trottoirs de Marseille où le paquet se vend 5 euros, soit 2 euros de moins que chez les buralistes. "Le marché parallèle s'est développé au fur et à mesure des hausses successives du prix du tabac, constate Pierre Lanoë, buraliste depuis près de trois décennies sur le boulevard Garibaldi. Dans la rue, mais aussi dans les snacks, les épiceries et les magasins de téléphonie mobile." Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement La France est désormais le pays d'Europe continentale où fumer coûte le plus cher, juste derrière la Norvège. Autant dire un eldorado pour les trafiquants de cigarettes. Afin d'évaluer l'ampleur de la fraude, les quatre géants de l'industrie 1 commanditent chaque année une étude confidentielle, fondée sur la méthode dite du "ramasse-paquets". Des milliers d'emballages vides sont collectés dans 118 villes françaises et les restes de tabac analysés afin de déterminer leur origine. Résultat autour du Vieux- Port, 18,2% des cigarettes viennent tout droit d'Algérie. Des Marlboro, surtout, ainsi que des L&M, deux marques produites en Algérie par le groupe Philip Morris International. On trouve également des American Legend fabriquées en Grèce, et transférées en fraude vers le marché algérien. En 2014, la douane a confisqué 5 tonnes de cigarettes algériennes. Jérôme Chatin/L'ExpansionLa contrebande en provenance du sud de la Méditerranée n'est pas une spécialité phocéenne. En Seine-Saint- Denis, 14% des paquets sont originaires du Sénégal ou d'Afrique du Nord - essentiellement d'Algérie. Les importations illicites de cigarettes algériennes ont explosé ces dernières années. En France, elles auraient atteint 2,7 milliards d'unités en 2014, selon une enquête, publique celle-là, menée par la société d'audit et de conseil KPMG pour le compte des producteurs de tabac. 1,7 milliard de plus qu'en 2012. La motivation des trafiquants tient en quatre mots "High profit, low risk [marge élevée, faible risque]", résume un enquêteur britannique chargé de combattre la contrebande et la contrefaçon pour le compte de British American Tobacco. En Algérie, une cartouche de dix paquets de Marlboro coûte 13 ou 14 euros si l'acheteur la paie en dinars, 20 à 30% moins cher s'il débourse des euros. Dans les rues de Marseille, les demi-grossistes la cèdent pour 30 à 35 euros aux revendeurs qui, eux, la monnaient 50 euros aux fumeurs. D'après Philip Morris, ce commerce engendrerait un chiffre d'affaires annuel de 159 millions en Seine-Saint-Denis. Pour la seule ville de Marseille, il rapporterait 42 millions d'euros. Pourtant, les peines encourues sont faibles cinq ans de prison au maximum pour "trafic en bande organisée"; six mois derrière les barreaux et 3750 euros d'amende pour "vente à la sauvette". Bien souvent, les revendeurs s'en tirent avec un simple rappel à la loi. En cas de récidive, ils peuvent écoper de quelques mois d'emprisonnement avec sursis. "Autant de raisons qui conduisent certains spécialistes des stupéfiants à se reconvertir dans le tabac", observe le commissaire marseillais David Brugère, qui a mis en place le groupe chargé de démanteler les réseaux de distribution. Mais il n'est pas facile d'intercepter des cigarettes qui, le plus souvent, ne voyagent pas à l'intérieur de conteneurs ou de camions, mais dans les bagages des passagers, que la loi autorise à rapporter une seule cartouche - s'ils partent d'un pays extérieur à l'Union européenne. Les douaniers appellent ce mode de convoyage le "trafic fourmi". Epuisant à contrôler, impossible à endiguer. "Nous ne sommes que 16000, et nos effectifs doivent encore baisser, regrette Vincent Thomazo, secrétaire général du syndicat Unsa Douanes. Ne nous leurrons pas les contrôles seront moins nombreux à l'avenir." En 2014, ses collègues ont confisqué 5 tonnes de cigarettes algériennes. En moyenne, ces prises portaient sur 20 cartouches - de quoi remplir un sac à dos, pas davantage. "Nous n'avons réalisé que 20 saisies supérieures à 100 kilos, précise Max Ballarin, patron de la Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières. L'essentiel de cette contrebande correspond bien à des flux de voyageurs." Et aux allers-retours des marins algériens. Il y a quelques semaines, une patrouille nocturne de la brigade anticriminalité de Marseille a récupéré 140 cartouches échouées sur le quai de la Joliette. "La nuit, les marins balancent des sacs et des cartons pleins de cigarettes par-dessus les grilles de la gare maritime et les grossistes les récupèrent", décrypte le brigadier Ali. Des méthodes calquées sur celles des trafiquants de stupéfiantsAutre filière d'acheminement l'avion. A l'aéroport de Marseille Provence, la police de l'air et des frontières a récemment cueilli un voyageur en provenance d'Alger dont les bagages ne contenaient pas le moindre vêtement ou article de toilette - des cigarettes uniquement. C'était un habitué de ce vol, comme l'attestait son passeport constellé de coups de tampons... Mais beaucoup de trafiquants sont devenus prudents. "Ils ne font passer que des petites quantités sur les liaisons directes, très contrôlées, souligne un douanier en poste à Orly, où atterrissent quotidiennement entre 10 et 20 appareils partis d'Algérie. A présent, ils fractionnent leur trajet et transitent par l'Espagne ou le Portugal avec des valises pleines de cartouches..." Pour rallier Toulouse, les Marlboro et L&M algériennes empruntent également les bus Eurolines au départ de l'Espagne. "Un grossiste important serait installé à Alicante", glisse un bon connaisseur du sujet. Ces questions de logistique n'intéressent pas les fumeurs en quête de prix cassés. En ce joli jour de mai, comme à l'habitude, ils viennent faire leurs emplettes au métro Barbès-Rochechouart, à l'angle des boulevards de la Chapelle et Barbès, à Paris. Les paquets de Marlboro passent discrètement de main en main. Trois hommes s'éloignent en direction d'une voiture noire, garée un peu plus loin. Le conducteur, la soixantaine bonhomme, tire de son coffre un sac en plastique plein de cigarettes qu'il troque contre quelques billets. "Tous les jours, des gens passent pour revendre les trois, quatre ou cinq cartouches qu'ils ont rapportées d'Algérie", explique un douanier. Dans un ballet incessant, de l'aurore à la nuit, une dizaine d'hommes vont et viennent, approvisionnant les revendeurs. Un grand costaud, barbe courte et chaîne en argent, montre fièrement à son copain comment il dissimule plusieurs cartouches dans les manches du blouson marine qu'il porte négligemment sur les épaules. Un autre se hisse sur un portillon de sortie du métro pour tirer des paquets de leur cachette. "Ils les planquent partout où ils peuvent, observe Jérôme Clément, commissaire central adjoint du XVIIIe arrondissement dans les bouches d'égout, derrière les roues des voitures, dans les moindres interstices du mobilier urbain." Opération conjointe police-douanes, à Aubervilliers, en PHOTO / MIGUEL MEDINAAutour de la station de métro des Quatre-Chemins, entre Pantin et Aubervilliers Seine-Saint-Denis, le manège est à peu près identique. "Barbès n'est plus, comme naguère, l'unique lieu de vente à la sauvette, relève Gérard Bohélay, président de la Fédération des buralistes d'Ile-de-France. Les points de distribution ont essaimé." Les spécialistes de la clope se sont professionnalisés, aussi, calquant méthodes et organisation sur celles des trafiquants de stupéfiants. Ils ont leurs "chouffeurs" guetteurs, leurs ravitailleurs, leurs vendeurs - souvent des étrangers en situation irrégulière qui se disent originaires de Libye, de Syrie ou d'Egypte -, leurs banquiers ou trésoriers responsables de la collecte de l'argent, leurs gérants chargés de la supervision. Voire leurs rabatteurs, comme à Marseille, pour orienter les clients vers leurs nouveaux territoires. Afin de limiter les risques de saisie, les stocks sont répartis dans des appartements "nourrices" et alimentent des caches intermédiaires. "Les revendeurs que nous arrêtons n'ont plus de cartouches sur eux, juste quelques paquets", confirme la commissaire Fabienne Azalbert, à Aubervilliers. Dans la zone prioritaire de sécurité à cheval entre cette commune et celle de Pantin, comme dans le quartier parisien de Barbès, police et douane unissent leurs efforts pour neutraliser ce commerce. Non sans mal, car les marchands improvisés cèdent la place à d'autres ou réapparaissent sous une nouvelle identité. "On les arrête, mais ils sont dehors tout de suite...", grince un policier. Des réseaux criminels exploitent-ils cette main-d'oeuvre taillable et corvéable à merci ? Ce trafic en alimente-t-il d'autres, plus dangereux ? "On pense qu'il existe des filières organisées, peut-être des structures mafieuses, mais, pour l'instant, nous n'avons pas de vision claire et exhaustive", reconnaît un enquêteur des douanes. A Marseille, le commissaire Brugère et son équipe essaient de "détricoter la pelote", comme ils disent. D'identifier les acteurs, des "mules" chargées de transporter la marchandise aux grossistes. De localiser les appartements et les box de stockage. D'infiltrer le port et de recruter des indics. Dans la cité phocéenne, la tension monte entre bandes rivalesDéstabilisés par cette offensive, les trafiquants ont remballé les paquets qu'ils vendaient au grand jour, autour de la porte d'Aix et sur le marché de Noailles. Plus discrets, ils ont investi de nouveaux lieux comme le marché aux puces ou la rue des Dominicaines. Et décalé leurs horaires de travail en soirée. Ces bouleversements exacerbent les tensions entre bandes rivales, même si tous les trafiquants phocéens, ou presque, sont nés à Annaba, grand port du littoral nordest de l'Algérie. L'un d'eux a été la cible d'un règlement de comptes le 16 mai. 1 American Tobacco, Philip Morris International, Japan Tobacco et British American Tobacco. En début de matinée, près de la porte d'Aix, cet homme de 19 ans s'effondrait, blessé de plusieurs coups de couteau. Trois jours plus tard, le brigadier Ali et ses collègues ne sont pas mécontents de leur tableau de chasse. A la descente du Tariq, ce jour-là, ils ont intercepté deux véhicules, saisi 43 cartouches et interpellé trois hommes. L'été sera chaud, ils le savent en juillet et août, la noria des ferries s'accélère entre les deux rives de la Méditerranée. Sur le quai de la Joliette, un porteur commente avec flegme ces grandes manoeuvres "Bien sûr, les policiers et les douaniers trouvent des cartouches, ici et là, mais pas tout. C'est un gruyère, ce port..." 1 American Tobacco, Philip Morris International, Japan Tobacco et British American Tobacco. Les plus lus OpinionsLa chronique de Pierre AssoulinePierre AssoulineEditoAnne RosencherChroniquePar Gérald BronnerLa chronique d'Aurélien SaussayPar Aurélien Saussay, chercheur à la London School of Economics, économiste de l'environnement spécialiste des questions de transition énergétique . 450 641 127 461 606 659 488 101

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