Onpeut se contenter de faire le Tayamum (ablutions sÚches) ou de verser de l'eau sans toucher le corps; Il ne faut pas couper les cheveux, les angles d'un mort; Il est recommandé, pour les premiers jours qui suivent le décÚs, que les voisins de la famille concernée fassent à manger pour les proches et les visiteurs et décharger ainsi la famille de cette pénible

1Un corps qui a cessĂ© de vivre, cessĂ© de fonctionner, puisque ce qui caractĂ©rise la mort est l’arrĂȘt des fonctions vitales, va naturellement se transformer. 2Les rĂ©actions chimiques qui ne sont plus contrĂŽlĂ©es par l’organisme, vont continuer d’évoluer en suivant les lois gĂ©nĂ©rales de la chimie avec des consĂ©quences qui peuvent ĂȘtre impressionnantes pour les proches ; le refroidissement du corps, la rigiditĂ© cadavĂ©rique, la dĂ©shydratation. 3Il existe aussi une flore bactĂ©rienne qui est naturellement prĂ©sente sur le corps vivant avec une relation de type symbiotique. Cette flore bactĂ©rienne va se dĂ©velopper sur ce corps sans vie et entraĂźner des accumulations de gaz dans les viscĂšres qui sont Ă  l’origine d’odeurs, d’écoulements, de gonflements, qui engendrent des transformations importantes du corps. 4En avançant dans le temps, on pourra observer l’arrivĂ©e d’animaux nĂ©crophages qui sont attirĂ©s par ce corps sans vie. 5Et puis la dĂ©composition qui va, petit Ă  petit, dĂ©structurer l’organisme et rĂ©partir les constituants de cet organisme dans l’environnement. C’est l’application de la loi de Lavoisier Rien ne se perd, rien ne se crĂ©, tout se transforme ». 6Mais il est vrai que ces Ă©volutions naturelles et leurs consĂ©quences sont trĂšs difficiles Ă  supporter pour ceux que j’appellerai les survivants » ; les proches, l’entourage, voire, sur un plan symbolique, la sociĂ©tĂ©. 7MĂȘme s’il ne vit plus, le mort existe. Il existe pour ses proches, c’est une personne qui fait partie de leur histoire et par son corps inerte, il est encore lĂ . 8Les transformations du corps qui vont altĂ©rer le dĂ©funt vont modifier pour les survivants la perception qu’ils ont de la personne dĂ©funte. On peut mĂȘme imaginer que le mort devienne potentiellement dangereux ou menaçant pour ses proches. 9Ce qui est une rĂ©alitĂ© biologique, avec le dĂ©veloppement important des germes, peut ĂȘtre aussi une menace symbolique. Le mort peut faire peur, surtout dans notre sociĂ©tĂ© oĂč la mort est devenue taboue, l’idĂ©e de cohabiter avec ce qu’il faut bien appeler un cadavre, est quelque chose qui effraie la plupart d’entre nous. 10Pour faire face Ă  cette menace ou ce danger, il est possible d’apporter des rĂ©ponses qui vont permettre de cohabiter un temps avec le dĂ©funt ; c’est pour cela que l’on est amenĂ© Ă  prendre soin du mort. 11Le fait de prendre soin d’un dĂ©funt peut rĂ©pondre Ă  diffĂ©rents objectifs. 12Celui de permettre de neutraliser le risque, Ă  la fois biologique et symbolique, que le dĂ©funt reprĂ©sente pour les survivants. 13C’est Ă©galement, en prenant soin du mort, lui conserver ou lui rendre son statut de personne. 14C’est vrai que la mort a mis du dĂ©sordre et le fait de toiletter un dĂ©funt, de l’habiller, va permettre aux autres de le revoir dans des conditions dĂ©centes. 15Le mort dont on a pris soin, le dĂ©funt pourra avoir une relation sociale. Ou plutĂŽt, ses proches pourront Ă©tablir ou rĂ©tablir une relation sociale avec lui ; on peut revenir le voir, le toucher, lui parler et conserver ainsi le souvenir de la personne que l’on avait connue. 16Prendre soin du mort, peut aussi le prĂ©parer Ă  partir. Je n’en parlerai pas plus avant puisque c’est ce qui sera abordĂ© lors de la confĂ©rence consacrĂ©e au temps des funĂ©railles mais c’est vrai que dans certaines civilisations ou dans certaines reprĂ©sentations de l’aprĂšs-mort, le dĂ©funt doit voyager dans l’au-delĂ . Il est alors important de l’habiller, de le chausser, de lui permettre de bien cheminer » et c’est ce qui sera fait lors de la toilette ou du soin. 17Il y a aussi des rĂ©ponses rituelles mais je laisse les personnes qui vous parleront des cultes, aborder le sujet. Je vais m’attacher aux rĂ©ponses matĂ©rielles que l’on peut apporter pour prendre soin du corps, ce qui va permettre au vivant de cohabiter avec le dĂ©funt. 18Les premiĂšres rĂ©ponses mise en Ɠuvre, les plus simples et les plus anciennes, consistent Ă  laver le corps, Ă  l’habiller et Ă  le parfumer. Ces gestes sont toujours mis en Ɠuvre actuellement dans le cadre des toilettes rituelles, mais aussi pour redonner au dĂ©funt l’apparence qu’il avait de son vivant. 19Laver, habiller un dĂ©funt, c’est remettre de l’ordre lĂ  ou la mort a mis du dĂ©sordre, c’est nettoyer un corps qui s’est trouvĂ© souillĂ© suite Ă  l’arrĂȘt des fonctions vitales, suite Ă  des Ă©coulements de matiĂšres organiques. 20C’est aussi de remĂ©dier Ă  la rigiditĂ© cadavĂ©rique qui est apparue et qui donne au corps une position incongrue ou effrayante. Lors de la toilette ou du soin, on y remĂ©diera en massant les membres. On retrouve ainsi la libertĂ© des articulations et on repositionne le corps dans une attitude qui permet de lui rendre son humanitĂ©. Les bras seront allongĂ©s le long du corps ou les mains jointes avec les doigts croisĂ©s ou toute autre position correspondant aux attentes de la famille. 21C’est aussi l’habiller avec des vĂȘtements qui ont du sens ; avec des vĂȘtements propres ou neufs ou des vĂȘtements qui correspondent Ă  l’histoire de la personne et celle de la famille et des survivants. 22Ces gestes sont assurĂ©s le plus souvent par le personnel soignant quand le dĂ©cĂšs survient Ă  l’hĂŽpital. Ils peuvent Ă©galement ĂȘtre rĂ©alisĂ©s par le personnel des entreprises de services funĂ©raires. Il faut se rappeler qu’auparavant, ces gestes relevaient de l’entraide de voisinage, c’était l’entourage du dĂ©cĂ©dĂ© qui les pratiquaient, pas toujours l’entourage le plus proche, sous le coup du choc affectif mais des voisins et des voisines qui venaient toiletter le corps, souvent Ă  charge de revanche. Cela faisait partie de l’organisation, de la vie sociale. 23C’est quelque chose qui est devenu aujourd’hui trĂšs rare et de plus en plus les soins, mĂȘme les plus simples, vont ĂȘtre effectuĂ©s par des personnes extĂ©rieures au cercle des proches, les personnels soignants dans les hĂŽpitaux ou les professionnels du funĂ©raire qui rĂ©pondent ainsi aux demandes des familles. 24Ces gestes simples, qui sont importants, n’apportent cependant que des rĂ©ponses qui sont limitĂ©es dans le temps puisque nous avons vu que le corps allait naturellement se transformer. 25En rĂšgle gĂ©nĂ©rale la premiĂšre toilette va permettre de garder l’intĂ©gritĂ© du corps sur les 24 heures, au mieux les 48 heures, qui suivent le dĂ©cĂšs. 26Si l’on veut pouvoir garantir une cohabitation un peu plus confortable sur une pĂ©riode un peu plus longue, il faut mettre en Ɠuvre d’autres procĂ©dĂ©s. 27Les plus courants sont ceux qui consistent Ă  refroidir le corps. Pourquoi ? Parce que le froid va ralentir le dĂ©veloppement bactĂ©rien, donc retarder les phĂ©nomĂšnes consĂ©cutifs Ă  ce dĂ©veloppement. 28Il existe diffĂ©rents moyens. 29Le plus ancien est l’utilisation de tables en pierre sur lesquelles on laisse couler un filet d’eau pour les refroidir et sur lesquelles on dĂ©posait les corps morts. C’est ce qu’on trouvait dans les morgues, au xixe siĂšcle. 30Les Ă©quipements plus modernes que l’on trouve maintenant dans les chambres mortuaires ou les chambres funĂ©raires, sont des cases rĂ©frigĂ©rĂ©es dans lesquelles on dĂ©pose les corps qui se trouvent dans une atmosphĂšre suffisamment froide autour de + 6° centigrade pour ralentir le dĂ©veloppement bactĂ©rien. 31Il peut y avoir aussi des applications de glace carbonique, qui permettent aux corps de rester dans un espace banal, un domicile par exemple, mais plus souvent, maintenant, des lits ou des tables rĂ©frigĂ©rĂ©s qui permettent Ă©galement de refroidir le corps. 32Ces techniques sont efficaces mais elles ont aussi des limites en ce qui concerne l’aspect esthĂ©tique du dĂ©funt certains signes consĂ©cutifs au dĂ©cĂšs ne connaissent pas de rĂ©ponses avec ces procĂ©dĂ©s de refroidissements. Les lividitĂ©s cadavĂ©riques, la dĂ©shydratation vont s’accentuer. 33Une autre technique est ce qu’on appelle le soin de thanatopraxie. C’est une technique qui dĂ©coule en fait de la prĂ©servation des piĂšces anatomiques telle qu’elle s’est dĂ©veloppĂ©e Ă  partir de la seconde moitiĂ© du xviie siĂšcle. C’est tout Ă  fait diffĂ©rent des techniques de l’embaumement Ă©gyptien. 34La pratique de la thanatopraxie s’est dĂ©veloppĂ©e en France Ă  partir des annĂ©es 1960. 35Pour en parler rapidement, elle consiste en l’injection d’un fluide conservateur dans le circuit vasculaire, suivi d’un drainage sanguin, puis d’une ponction des viscĂšres, prĂ©alablement Ă  la diffusion d’un liquide aseptisant dans les cavitĂ©s thoraciques et abdominales, qui va neutraliser toute la flore bactĂ©rienne qui s’y trouve. 36L’objectif de ces soins est de dĂ©truire cette flore bactĂ©rienne dont le dĂ©veloppement a des consĂ©quences importantes dans la dĂ©composition, de stabiliser les tissus corporels et surtout de rendre et de conserver au dĂ©funt un aspect qui est familier Ă  ses proches. 37C’est ce qui leur permettra de pouvoir rester avec le dĂ©funt dans une atmosphĂšre tout Ă  fait normale, habituelle. Ça peut ĂȘtre autant au domicile que dans un salon d’une chambre funĂ©raire oĂč les familles pourront rendre des visites au dĂ©funt, le temps que les funĂ©railles s’organisent. 38C’est un processus temporaire, qui ne vise pas une momification du corps, mais qui lui conserve son aspect pour une quinzaine de jours, ce qui rĂ©pond tout Ă  fait aux impĂ©ratifs rĂ©glementaires puisque, en France, un dĂ©funt doit ĂȘtre inhumĂ© ou crĂ©matisĂ© dans les six jours non compris dimanche et jours fĂ©riĂ©s qui suivent le dĂ©cĂšs. 39La famille a ainsi tout Ă  fait le temps d’entretenir une derniĂšre relation, mĂȘme Ă  sens unique, avec le dĂ©funt. 40L’utilisation de ces diffĂ©rentes techniques se traduit aujourd’hui dans la rĂ©alisation des obsĂšques. On s’aperçoit que, de plus en plus, la durĂ©e pour organiser les obsĂšques tourne autour de quatre Ă  cinq jours aprĂšs le dĂ©cĂšs dans les annĂ©es 1950, c’était de l’ordre de deux jours. 41On a aujourd’hui la possibilitĂ© d’avoir le temps – et on le prend – d’amĂ©nager la pĂ©riode pour dire adieu au dĂ©funt. 42VoilĂ , pour un rapide tour d’horizon, les soins que l’on peut apporter au dĂ©funt dans ce temps qui est intimement contigu au temps du mourir et qui va permettre aux survivant de passer Ă  l’étape qui va suivre, celle du temps des funĂ©railles. PompesFunĂšbres Musulmanes ASSAKINA Bordeaux -MĂ©rignac, Nouvelle-Aquitaine. Se charger de nos dĂ©funts est un devoir communautaire (Fard Kifayih) et un droit qui leur est accordĂ©s par ALLAH azawejel, vos pompes funĂšbres musulmanes ASSAKINA vous apporterons leur expĂ©rience de plusieurs annĂ©es dans le domaine du funĂ©raire musulman, dans le ï»żQuestion Est il permis au moment de laver un mort de laisser y assister quelqu'un dont on n'a pas besoin? Texte de la rĂ©ponse Louange Ă  Ă  Allah Ibn Qudamah puisse Allah lui accorder Sa misĂ©ricorde dit On rĂ©prouve la prĂ©sence de toute personne en dehors du laveur et de son assistant car il n'est permis de regarder le mort qu'en cas de besoin. Il est recommandĂ© Ă  ceux qui sont prĂ©sents de baisser leurs regards sauf en cas de nĂ©cessitĂ©. Cela est dĂ» au fait que le mort pourrait avoir un dĂ©faut qu'il dissimulait et n'aimait pas qu'on le dĂ©couvre aprĂšs sa mort. Il peut encore apparaĂźtre de sa part quelque chose que le vivant n'aimerait faire en prĂ©sence des autres. Il peut encore se rĂ©vĂ©ler en lui une chose condamnable qui risque d'ĂȘtre dĂ©voilĂ©e de maniĂšre Ă  provoquer un scandale. Ses parties intimes peuvent ĂȘtre vues. C'est pourquoi on prĂ©fĂšre que le laveur soit une personne pieuse et honnĂȘte capable de dissimuler ce qu'elle voit. Extrait de al-Moughni,2/164. An-Nawawi puisse Allah lui accorder Sa misĂ©ricorde dit il est recommandĂ© de transfĂ©rer le corps du mort Ă  un endroit isolĂ© et le cacher aux regards. Ceci ne fait l'objet d'aucune divergence de vues. Extrait de charh al-Mouhadhdhab,5/125. Il n' y a pas de limite concernant le nombre des personnes pouvant assister au lavage d'un mort; cela dĂ©pendant du besoin. Si celui-ci nĂ©cessite la prĂ©sence de plus d'une personne, il n' y a aucun inconvĂ©nient Ă  faire venir d'autres. Ceci s'atteste dans cette tradition rapportĂ©e par Oum Atiyya Le Messager d'Allah bĂ©nĂ©diction et salut soient sur lui est arrivĂ© auprĂšs de nous Ă  la suite du dĂ©cĂšs de sa fille et a dit lavez la trois ou cinq fois ou plus si vous le jugez nĂ©cessaire et le tout Ă  l'aide de l'eau et du lotus. Ajoutez y Ă  la fin du camphre ou des Ă©lĂ©ments du camphre. Quand vous aurez terminĂ©, informez-moi. Quand nous avons terminĂ© nous l'avons informĂ©.» rapportĂ© par al-Boukhari,1253 et par Mouslim,939. Cependant certains ulĂ©mas puisse Allah leur accorder Sa misĂ©ricorde ont fait exception du reprĂ©sentant du mort et lui permet d'assister au lavage mĂȘme si cela n'est pas nĂ©cessaire, compte tenu de sa compassion avec le mort. An-Nawawi puisse Allah lui accorder Sa misĂ©ricorde dit selon nos condisciples il est recommandĂ© que seuls le laveur du mort et son assistant indispensable soient lĂ . Selon eux, le reprĂ©sentant du mort peut entrer , mĂȘme s'il ne participe au lavage et n'assiste pas le laveur. Extrait d'al-Insaf,2/486. Cheikh Muhammad al-Moukhtar Chinquiti puisse Allah le prĂ©server dit des ulĂ©mas permettent Ă  des parents d'assister au lavage du mort pour leur compassion envers lui. C'est le cas de son fils. Il peut ĂȘtre lĂ  pour le laver. Il en est de mĂȘme pour d'autres parents car c'est plus Ă  mĂȘme de les amener Ă  accepter le dĂ©cret d'Allah le Puissant et Majestueux. En plus, celui qui y assiste peut voir de bons singes qui le rassurent, ce qui facilite l'endurance chez les parents. Ceci est bien connu; si un parent participe au lavage , il peut dĂ©celer de bons signes qui l'encouragent Ă  rester patient et Ă  espĂ©rer la rĂ©compense pour la perte de son parent. Extrait de charh az-Zad. Allah le sait mieux.
Les agents de santĂ© ou le personnel mortuaire chargĂ©s de prĂ©parer le corps (par exemple lavage du corps, coiffage des cheveux, coupe des ongles, ou rasage) doivent porter un EPI appropriĂ© conformĂ©ment aux prĂ©cautions standard (gants, blouse jetable impermĂ©able [ou blouse jetable avec tablier impermĂ©able], masque mĂ©dical, protection oculaire) ; ‱ Si la famille
Laver le mort -ghasl al mayyit-, l’envelopper d’un linceul -takfĂźn-, prier sur lui et l’ensevelir, est une obligation communautaire -fard kifĂąya-, de sorte que si certains musulmans en assurent l’exĂ©cution, le pĂ©chĂ© de faillir Ă  cette obligation ne frappe pas les autres. La personne qui a le plus de droit Ă  laver le mort, est celle qu’il a lui-mĂȘme dĂ©signĂ©e dans son testament. Ensuite vient le pĂšre du dĂ©funt, car il est plus affectueux Ă  son Ă©gard et plus connaisseur en la façon de procĂ©der que le fils du dĂ©funt, ensuite les autres dans leur ordre de parentĂ© avec le dĂ©funt. La femme est lavĂ©e par celle qu’elle a recommandĂ©e dans son testament, ensuite sa mĂšre, puis sa fille, puis les autres dans leur ordre de parentĂ© avec la dĂ©funte. Il est possible que le mari lave son Ă©pouse, car le ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a dit Ă  AĂŻsha Ű±Ű¶ÙŠ Ű§Ù„Ù„Ù‡ ŰčÙ†Ù‡Ű§ Qu’aurais-tu Ă  perdre si tu mourais avant moi, puisque je te laverais... » 1 De mĂȘme, il est possible que l’épouse lave son mari, car AbĂ» Bakr Ű±Ű¶ÙŠ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčنه a recommandĂ© dans son testament que sa femme le laverait. 2 L’homme, comme la femme, peuvent laver l’enfant qui a moins de sept ans, qu’il soit un garçon ou une fille, car la religion est tolĂ©rante concernant la nuditĂ© de l'enfant. Lorsqu’un homme meurt uniquement entourĂ© de femmes ou vice-versa, on doit remplacer le lavage par le tayammum ; il consiste Ă  ce que l’un d’eux pose les mains sur le sol, ensuite les fait passer sur le visage puis les mains du mort. Il est interdit au musulman de laver un mĂ©crĂ©ant ou de l’enterrer, conformĂ©ment Ă  la parole d’Allah le TrĂšs Haut "Ne prie jamais sur aucun d ’eux s’il meurt." 3 Si la priĂšre mortuaire sur lui, avec toute l’importance que comporte ce culte, est interdite, alors toutes les pratiques funĂ©raires qui sont en deçà de la priĂšre le sont aussi. Le laveur doit couvrir les parties du corps qu’il est interdit de montrer -`awra-, puis lui enlĂšvera ses habits. Il doit le mettre Ă  l’abri des regards des gens, car il se peut qu’il soit dans un Ă©tat dĂ©plaisant Puis il soulĂšvera sa tĂȘte jusqu’à le mettre dans une position presque assise, puis pressera lĂ©gĂšrement sur son ventre pour le dĂ©barrasser de ce qu’i1 pourrait renfermer, puis versera de l’eau en abondance pour nettoyer les impuretĂ©s S’enroulant la main d’une serviette ou un gant, il lavera les parties intimes sans les regarder et sans les toucher s’i1 s’agit d’un mort qui a plus de sept ans. Il dira Bismi-LLah » au nom d’Allah, puis pratiquera sur lui des ablutions comme celles de la priĂšre, conformĂ©ment Ă  ce qu’a dit le ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… aux laveuses de sa fille Zaynab Ű±Ű¶ÙŠ Ű§Ù„Ù„Ù‡ ŰčÙ†Ù‡Ű§ Commencez par le cĂŽtĂ© droit et les parties qu’on lave lors des ablutions.» 4 Sauf qu’il ne devra pas rentrer l’eau dans ses narines ni dans sa bouche, mais il s’enroulera le doigt d’un tissu mouillĂ©, le mettra entre les lĂšvres du dĂ©funt et frottera ses dents, nettoiera les narines aussi. Il est souhaitable de laver sa tĂȘte et sa barbe Ă  l’aide d’une mousse faite de mĂ©lange d’eau et du jujubier -sidr- Avec le reste de cette eau, on lavera tout le corps. Ensuite il lavera le cĂŽtĂ© droit de face. Puis de dos cotĂ© droit, il procĂ©dera de la maniĂšre pour le cĂŽtĂ© gauche, conformĂ©ment au Hadith prĂ©citĂ© Commencez par le cĂŽtĂ© droit ». Il rĂ©pĂ©tera l’opĂ©ration une deuxiĂšme et une troisiĂšme fois conformĂ©ment Ă  ce qu’a dit le ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… dans le Hadith prĂ©citĂ© Lavez-la trois fois », en ayant soin, chaque fois, de lui presser sur le ventre. S’il en sort quelque chose, il le lavera. Au laveur de faire plus de trois lavages, voire mĂȘme dĂ©passer le nombre de sept s’il voit qu’il est nĂ©cessaire. RelĂšve de la Sunna le fait de mettre du camphre dans le dernier lavage, car le ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a dit dans le Hadith prĂ©citĂ© Mettez du camphre dans le dernier lavage » Il s’agit d’un genre de parfum connu, il est frais et son odeur chasse les insectes. Il est recommandĂ© de laver le mort avec de l`eau froide, sauf si le laveur voit qu’il y a beaucoup de saletĂ©s sur le corps du dĂ©funt, dans ce cas, il peut utiliser de l`eau tiĂšde. Il peut aussi se servir du savon pour lui enlever les saletĂ©s, mais il ne doit pas le frotter brutalement car la peau risque de se dĂ©coller. Il peut nettoyer ses dents Ă  l`aide d’un cure—dents. Il est souhaitable de raccourcir la moustache et les ongles du mort s`ils sont longs. Quant aux poils des aisselles et du pubis, on ne les coupe pas. On ne lui peignera pas les cheveux car ils risqueront de tomber ou de se couper. Si le mort est une femme, on fera trois tresses de ses cheveux et on les laissera pendre dans le dos. Il est souhaitable de sĂ©cher le corps Ă  l’aide d’un linge Ă  la fin du lavage. Si quelque chose sort du mort urine, selles ou sang aprĂšs sept lavages, on bouchera l’orifice naturel avec du coton, puis on nettoiera l’endroit souillĂ©. S`il en sort quelque chose aprĂšs l’avoir enveloppĂ© dans du linceul, on ne le relavera pas, car c’est gĂȘnant de le faire. Le pĂšlerin le grand pĂšlerinage —hajj- ou le petit pĂšlerinage -`umra— qui se trouve en Ă©tat de sacralisation -al-muhrim— sera lavĂ© avec de l’eau et du jujubier —sidr—. On ne le parfumera pas et on ne lui couvrira pas la tĂȘte s’il s’agit d’un homme, car le ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a dit propos du pĂšlerin qui est mort en Ă©tat de sacralisation Ne le parfumez pas » Et il Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a dit Ne lui couvrez pas la tĂȘte; il sera ressuscitĂ© dans l’au-delĂ  en faisant la talbiyya » 5. On ne lavera pas le martyr tombĂ© sur le champ de bataille; le ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a donnĂ© l'ordre que les morts de la bataille d’Uhud soient enterrĂ©s dans leurs habits et qu’ils ne soient pas lavĂ©s. 6 On l’enterrera donc dans les vĂȘtements dans lesquels il est mort, aprĂšs lui avoir retirĂ© son Ă©quipement de fer et de cuir. On ne fera pas sur lui la priĂšre des morts, car le ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… n’a pas priĂ© sur les martyrs de la bataille d’Uhud. 7 On lavera l’avorton -siqt— qui a atteint quatre mois, on fera sur priĂšre des morts et on lui donnera un nom. Le ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a dit Le potentiel de crĂ©ation -khalq- de chacun de vous est rassemblĂ© en un peu de liquide -nutfah dans le ventre de sa mĂšre pendant quarante jours, puis il est une adhĂ©rence -`alaqah- pendant une pĂ©riode similaire, puis il est une mĂąchure -mudgha- pendant un pĂ©riode similaire. Allah demande ensuite Ă  l’ange qui insuffle en lui l'ame. » 8 C`est Ă  dire que l’ñme pĂ©nĂštre dans le corps aprĂšs quatre mois. Avant cette pĂ©riode. il n`est qu’un morceau de chair qu`on enterrera sans lavage ni priĂšre. Quand il est impossible de procĂ©der au lavage du mort, parce que l’on manque d’eau ou que l’on craint la dĂ©composition du corps ou que le mort est carbonisĂ©, on pratique le Tayammum ; il consiste Ă  ce que l`un des gens prĂ©sents pose ses mains sur le sol, puis les fait passer sur le visage et les mains du mort. Le laveur doit taire ce qu’il voit sur le dĂ©funt comme choses dĂ©plaisantes, tels que l'assombrissement de son visage ou la prĂ©sence de traces dĂ©sagrĂ©ables sur son corps, ou des stigmates de ce genre. Le ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a dit Celui qui a lavĂ© un mort et a tu ses dĂ©fauts, Allah l’absout quarante fois. » 9 1 HadĂźth authentique rapportĂ© par Ahmad. Voir ses sources dans l’épĂźtre intitulĂ©e le lavage et l’inhumation -al-ghusl wa-l—kafan- » du shaykh Mustapha al `Adawi page 46. 2 RapportĂ© par `Abd ar—RazzĂąq dans al-Musannaf n° 6117. 3 Coran, verset 84 du chapitre le repentir ». 4 Unanimement accordĂ© 5 Unanimement accordĂ©. 6 RapportĂ© par al—BukhĂąri. 7 Unanimement accordĂ©. 8 RapportĂ© par Muslim. 9 RapportĂ© par al—HĂąkim et qualifiĂ© d`authentique par al-AlbĂąni dans Les rĂšgles des funĂ©railles >> page 51. source Pratiques funĂ©raires 40 Fatwas de Savant, 241 innovations Cheikh Mouhammad Nacer-dine Al-Albany Article paru sur 3ilm char3i
Blog Lavage Mortuaire Islamique ; Description : As salamu'alaykum wa rahmatuLlahi wa barakatuhu, Vous trouverez ici, des rĂ©ponse Ă  vos questions relatives Ă  la mort et aux divers usages dans certains cas prĂ©cis.Dans le cas oĂč vous ne trouveriez pas de rĂ©ponse Ă  vos questions sur le blog, n'hĂ©sitez pas Ă  me laisser un message ou un commentaire avec votre
Le Lavage Mortuaire En Islam – destinĂ© Toilette Mortuaire Wallpaper Le Lavage Mortuaire En Islam – destinĂ© Toilette Mortuaire Salle De Bain September 4, 2020 GĂ©nial Toilette Mortuaire vous motiver Ă  ĂȘtre utilisĂ© dans votre manoir conception et style plan avenir prĂ©visible DĂ©licieux Ă  vous notre blog sur ceci pĂ©riode Nous allons scomment vous sur Toilette Mortuaire. Et aprĂšs cela, ceci peut ĂȘtre le initial impression Qu'en pensez-vous graphique mentionnĂ© plus haut? est habituellement que impressionnant. si vous vous sentez par consĂ©quent, je suis dĂ©montrer nombre photographie tout recommencer dessous ci-dessous Spectaculaire Toilette Mortuaire Nombre post ID 95018 Stay merveilleux et merci de visiter mon blog, l'article ci-dessus depuis le dĂ©but nouvelle photographie premier Toilette Mortuaire publiĂ© par Anas Hermes Ă  October, 1 2020. Estil permis de toucher un livre d'invocations en Ă©tant en Ă©tat de janaba? « le: Mai 15, 2013, 20:40:05 » Share Modifier Peut-on prendre un livre d'invocations (comme par exemple la citadelle du musulman) pour en lire des invocations en Ă©tant en Ă©tat de janaba? (En tant qu'homme). Lorsque vous rĂ©pondrez, rĂ©pondez avec des preuves svp. JournalisĂ©e DELIVRE. InvitĂ©. Re :
En Islam, le ghusl en langue arabe, bain rituel ou les grandes ablutions fait parti des rĂšgles de la purification. Il s’accomplit selon un protocole trĂšs prĂ©cis. La connaissance des grandes ablutions est un savoir qui incombe Ă  tous les musulmans. Ses conditions et son application sont vastes. Ce sujet tient une place prĂ©pondĂ©rante tant pour la vie du musulman que pour la jurisprudence islamique. Le bain rituel est une condition de la priĂšre pour une personne en Ă©tat d’impuretĂ© majeure en arabe janaba. Cet article propose une synthĂ©tisation de ce thĂšme important. Comment faire les ablutions majeures ? Les grandes ablutions s’accomplissent d’une maniĂšre bien prĂ©cise. La femme du ProphĂšte paix et bĂ©nĂ©diction, AĂŻsha qu’Allah l’agréée rapporte Lorsque le Messager d’Allah Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… accomplissait les ablutions majeures aprĂšs avoir eu des rapports, Il commençait par se laver les mains et accomplissait les ablutions similaires Ă  celles prĂ©cĂ©dant la priĂšre. Il passait ensuite ses doigts dans ses cheveux et une fois qu’il pensait avoir mouillĂ© son cuir chevelu, il versait de l’eau sur sa tĂȘte Ă  trois reprises puis lavait le reste du corps. » Les enseignements du hadith L’obligation des grandes ablutions suite Ă  l’impuretĂ© hadith indique l’accomplissement parfait et l’ordre dans lequel doivent ĂȘtre faites les grandes ablutions. Il est permis Ă  chacun des deux Ă©poux de regarder les parties intimes de l’autre. RapportĂ© dans le Sahih Al Bukhari 272-273 et Mouslim 316-321 Les ablutions majeures dans une autre version Maymouna bint Al HĂąrith, l’épouse du ProphĂšte Mohamed paix et bĂ©nĂ©diction sur lui, rapporte Je prĂ©sentai l’eau au ProphĂšte paix et bĂ©nĂ©diction sur lui afin qu’il accomplisse les grandes ablutions Il paix et bĂ©nĂ©diction sur lui versa avec sa main droite de l’eau sur sa main gauche Ă  deux ou trois reprises puis se lava les parties intimes. Le Messager d’Allah paix et bĂ©nĂ©diction sur lui passa ensuite ses mains sur la terre ou le mur Ă  deux ou trois reprises puis se lava la bouche et le nez, le visage et les bras. Il paix et bĂ©nĂ©diction sur lui se versa ensuite de l’eau sur la tĂȘte et se lava le reste du corps. AprĂšs avoir fini, le ProphĂšte paix et bĂ©nĂ©diction sur lui s’écarta et se lava les pieds. Je lui prĂ©sentai une serviette mais il refusa et enleva l’eau sur son corps de la main. Les enseignements du hadith La nĂ©cessitĂ© de se laver les mains avant d’entreprendre les grandes ablutions. AprĂšs s’ĂȘtre lavĂ© les parties intimes il faut se laver les mains. Il est permis de retarder le le lavage des pieds aprĂšs le lavage du suffit de se laver le corps une seule fois lors des grandes ablutions. RapportĂ© dans le Sahih Al Bukhari 274 et Mouslim 317 Quand le bain rituel devient obligatoire ? Le fondement du ghousl trouve sa preuve dans le Livre d’Allah le TrĂšs Haut Et si vous ĂȘtes polluĂ©s “junub”, alors purifiez-vous par un bain; » [Sourate Al-Ma’ida 6] Ô les croyants ! n’approchez pas de la priĂšre alors que vous ĂȘtes ivres, jusqu’à ce que vous compreniez ce que vous dites, et aussi quand vous ĂȘtes en Ă©tat d’impuretĂ© [polluĂ©s] – Ă  moins que vous ne soyez en voyage – jusqu’à ce que vous ayez pris un bain rituel » [Sourate Nisa 43] Les situations oĂč les grandes ablutions deviennent obligatoires sont multiples Suite Ă  un rapport sexuel avec pĂ©nĂ©tration qu’il y ait Ă©jaculation ou non, l’homme et la femme doivent accomplir cette obligation. La sĂ©crĂ©tion de sperme ou la pollution nocturne lors d’un rĂȘve Ă©rotique. Si la personne se rĂ©veille avec du liquide sur elle ou a vu du liquide en rĂȘve, le ghusl est prescrit. L’interruption des menstrues ou des locchies chez la femme. L’entrĂ©e d’un individu dans l’Islam mĂȘme s’il ya divergence sur ce sujet. Les cas de figure oĂč les ablutions majeures sont recommandĂ©es mustahab Les grandes ablutions sont recommandĂ©es et ont un caractĂšre mĂ©ritoire dans certaines circonstances. Le fait de les accomplir dans les exemples qui suivent ne sont pas obligatoires mais sont aussi recompensĂ©s. C’est Ă  dire que le musulman en tire un grand bien notamment parce qu’ils sont en concordance avec ce qu’a fait le ProphĂšte paix et bĂ©nĂ©diction sur Lui. Pour certaines occasions, les grandes ablutions sont logiquement accomplies par une grande majoritĂ© de musulmans. Il s’agit entre autre Du jour de la priĂšre du Vendredi. Cependant certains savants divergent sur le sujet. A titre d’exemple, le Cheikh Al Uthaymin Qu’Allah lui fasse misĂ©ricorde considĂ©rait cela comme obligatoire en se basant sur un hadith du ProphĂšte paix et bĂ©nĂ©diction sur lui qui dit Les grandes ablutions du vendredi sont une obligation pour toute personne pubĂšre. » RapportĂ© par Bukhari et Mouslim. A contrario le Sheikh Al Fawzan considĂšre ça cas de figure recommandable Ă©galement en se basant sur la parole du ProphĂšte paix et bĂ©nĂ©diction sur lui qui dit Quiconque fait ses ablutions le jour du vendredi, cela est trĂšs bien, mais quiconque fait ses grandes ablutions, cela est meilleur. » rapportĂ© par AbĂ» DĂąwoud, at-TirmidhĂź, an-NassĂą-Ăź et Ahmad. Quant Ă  Ibn Al Qayyim, il invoque la souillure ou la mauvaise odeur pour le caractĂšre obligatoire mais si la personne est propre, cela devient recommandĂ©. Ces savants de la communautĂ© apportent tous leurs preuves mais la majoritĂ© restent tout de mĂȘme d’accord sur le fait que le ghusl est recommandĂ© yawmu al jumu’a. Le jour des priĂšres de l’AĂŻd AprĂšs le lavage mortuaire Lors de l’état de sacralisation pour accomplir les rites du Hajj ou de la Omra. Savoirs utiles concernant le bain rituel Les savants de notre communautĂ© sont les hĂ©ritiers des prophĂštes dans la Science. Leur savoir imminent orientent la communautĂ© lorsqu’il existe des situations ambigues. Qu’ils aient raison ou tort, leur cheminement dans l’effort d’interprĂ©tation est rĂ©compensĂ©. Ainsi, dans le suivi de la croyance authentique et le suivi de la Sounnah du ProphĂšte paix et bĂ©nĂ©diction sur lui, le musulman doit faire preuve de crainte rĂ©vĂ©rencielle Ă  leur Ă©gard et s’abstenir de les critiquer. Concernant les grandes ablutions, beaucoup de questions reviennent Ă  ce sujet. Et nos savants contemporains sont toujours sollicitĂ©s sur ces questions. Des questions du quotidien Certaines personnes sont venus questionner le Sheikh Al Fawzan en ces termes Suis-je dans le pĂ©chĂ© si je n’accomplis pars le ghusl la nuit aprĂšs un rapport et que je le dĂ©laisse jusqu’à l’heure du fajr. » En substance, le Cheikh rĂ©pond par la nĂ©gative tout en donnant la meilleure des recommandations. En effet, la meilleure chose consiste Ă  ne pas le retarder et d’ĂȘtre dans le suivi de la tradition prophĂ©tique. D’autres questions reviennent en boucle concernant le fait de dĂ©nouer les nattes pour la femme en Ă©tat d’impuretĂ© majeure. La rĂ©ponse est nĂ©gative et s’appuie sur le hadith d’Oum Salama oĂč le ProphĂšte paix et bĂ©nĂ©diction sur lui a dit Je suis une femme qui tresse mes cheveux, dois-je les dĂ©nouer pour l’ablution majeure suscitĂ©e par l’arrĂȘt des rĂšgles, de mĂȘme que pour l’ablution majeure suscitĂ©e par un rapport sexuel ? Le prophĂšte salallahu alayhi wa salam » Non, il te suffit de verser sur ta tĂȘte trois fois la quantitĂ© d’eau contenue dans le creux de ta main, puis de verser de l’eau sur tout ton corps et ainsi, tu seras purifiĂ©e. Le fait de connaĂźtre les rĂšgles relatives au bain rituel implique aussi de connaĂźtre son contraire. Tout comme le fait de connaĂźtre les fondements du Tawhid, la logique veut que l’on Ă©tudie les partisans du Shirk. Tout cela afin de ne pas tomber dedans. [thrive_leads id=’5230â€Č]
dela mort aux rites funÉraires + lavage mortuaire book Sat Dec 21, 2019 at 09:00 AM to Sun Dec 22, 2019 at 06:00 PM Add to my calendar Timezone : Europe/Paris Se prĂ©parer Ă  mourir signifie souvent faire le bilan de sa vie, rĂ©gler les conflits avec son entourage familial et amical, et se sentir en paix face au caractĂšre inĂ©luctable de la mort prochaine. Les aspects spirituels ou religieux revĂȘtent une grande importance pour de nombreux malades en phase terminale et pour leur famille. Des reprĂ©sentants de divers cultes religieux interviennent auprĂšs des Ă©quipes soignantes de certaines structures hospitaliĂšres ou de mĂ©decine palliative, et les personnels soignants peuvent aider le malade et la famille Ă  trouver un soutien spirituel adaptĂ©, s’ils ne sont pas eux-mĂȘmes en relation avec une personne capable de leur apporter le soutien spirituel dont ils pourraient avoir besoin. Les personnes mourantes et les membres de leur famille peuvent souvent parvenir Ă  un profond sentiment de paix avec l’aide de la famille, des amis et parfois du processus de deuil passe souvent par cinq stades Ă©motionnels le dĂ©ni, la colĂšre, le marchandage avec la mort, la dĂ©pression et l’ perspective de la mort soulĂšve des interrogations sur la nature et la signification de la vie et sur le pourquoi de la souffrance et de la mort. Il n’existe pas de rĂ©ponses simples Ă  ces interrogations fondamentales. Dans leur recherche de rĂ©ponses, les malades et leur entourage puisent dans leurs ressources personnelles, font appel Ă  la religion, Ă  des conseillers, Ă  des amis et Ă  la recherche. Ils peuvent discuter, prendre part Ă  des cĂ©rĂ©monies religieuses ou familiales ou s’engager dans des activitĂ©s utiles. Souvent, le meilleur antidote au dĂ©sespoir est le fait de se sentir aimĂ©. La lourdeur du diagnostic et des traitements mĂ©dicaux ne doit pas faire oublier ces questions fondamentales, les expĂ©riences enrichissantes et l’importance des rapports est naturel qu’une personne en phase terminale ressente une profonde tristesse avant de mourir. Selon Élisabeth KĂŒbler-Ross, une pionniĂšre sur le thĂšme de la mort et des soins palliatifs, le malade en phase terminale passe par 5 stades Ă©motionnels caractĂ©ristiques DĂ©niColĂšreMarchandage avec la mortDĂ©pressionAcceptationCes stades surviennent gĂ©nĂ©ralement dans un ordre plus ou moins sĂ©quentiel. sans pour autant que ce soit dans cet ordre prĂ©cis. Au stade du dĂ©ni, la personne agit, parle et pense comme si elle n’allait pas mourir. Le dĂ©ni est gĂ©nĂ©ralement une rĂ©ponse temporaire Ă  la peur accablante de perdre le contrĂŽle, la peur de la sĂ©paration d’avec les proches, de l’inconnu, de l’avenir et de souffrir. Par le dialogue, le mĂ©decin ou un autre personnel soignant peut aider le malade en phase terminale Ă  comprendre qu’il peut garder le contrĂŽle et que des mesures peuvent ĂȘtre prises pour qu’il se sente bien. La colĂšre peut se traduire par un sentiment d’injustice Pourquoi moi ? » La personne peut tenter de marchander avec la mort pour gagner du temps. Lorsque la personne se rend compte que ses tentatives sont inutiles, elle peut dĂ©velopper une dĂ©pression. L’acceptation, parfois dĂ©crite comme le fait de savoir faire face Ă  l’inĂ©luctable, peut survenir au terme de discussions avec l’entourage familial, les amis et les personnels soignants. Affronter sa propre mort est difficile et entraĂźne de nombreuses variations de l’humeur. Cependant, pour la plupart des personnes, c’est une pĂ©riode pendant laquelle ils se mettent Ă  mieux comprendre la vie et se sentent grandir. En affrontant des conflits non rĂ©solus, renouant des relations interrompues et en subvenant aux besoins de ses proches, le malade en phase terminale et sa famille peuvent aboutir Ă  un profond sentiment de paix. REMARQUE Il s’agit de la version grand public. MÉDECINS Cliquez ici pour la version professionnelle Cliquez ici pour la version professionnelle Copyright © 2022 Merck & Co., Inc., Rahway, NJ, États-Unis et ses sociĂ©tĂ©s affiliĂ©es. Tous droits rĂ©servĂ©s. . 483 57 158 274 634 422 742 351

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